1 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
1 , sous les traits pathétiques et naïfs du célèbre Peter Schlemihl . De Chamisso à Hofmannsthal, plusieurs ont repris cette histoire. Le
2 inte fois l’extraordinaire popularité du bonhomme Peter Schlemihl . Je fus à l’Opéra. On y donnait du Strauss. Je ne connaissais pas le
3 pitié que me dictait mon cœur. Signalement de Peter Schlemihl Peter est un naïf : il croit à la fortune. Il croit surtout qu’ell
4 r en leur contraire ? Plus précisément, l’état de Peter Schlemihl n’est-il pas comparable à celui d’un esprit et d’un corps sains après
5 etrouvé son ombre. Suite et fin de la fable Peter Schlemihl nous apparaît maintenant une émouvante et très précise description de
6 dant français de Chamisso, selon lequel l’idée de Peter Schlemihl aurait été donnée à son auteur par un de ses parents, au cours d’un s
2 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
7 , sous les traits pathétiques et naïfs du célèbre Peter Schlemihl . De Chamisso à Hofmannsthal, plusieurs ont repris cette histoire. Le
8 pitié que me dictait mon cœur. Psychologie de Peter Schlemihl Peter est un naïf : il croit à la fortune. Il croit surtout qu’ell
9 r en leur contraire ? Plus précisément, l’état de Peter Schlemihl n’est-il pas comparable à celui d’un esprit ou d’un corps sains après
10 trouvé son ombre. Suite et fin de la fable Peter Schlemihl nous apparaît maintenant une émouvante et très précise description de
11 ue sorte permanent, une désespérance perpétuelle. Peter Schlemihl est certainement, sinon une autobiographie, au moins un essai moral q